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 les démons

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MessageSujet: les démons   les démons Icon_minitimeVen 2 Juin - 12:30

je vais vous parlé des démons:

Les alrunes

Démons succubes susceptibles de revêtir les formes les plus diverses et d'où seraient issues la tribu des Huns. Par extension, figurines magiques comparables aux mandragores que les anciens Germains, Danois et Suédois auraient taillés dans des bois très durs et qu'ils auraient nourries et dévotement vénérées en vue d'une protection familiale ou d'une révélation de l'avenir


- Deux alrunes, mal et femme, d'une apparence proche de la mandragore -

· Les asouras

Divinités infernales qui, dans la mythologie grecques, s'opposent aux bienfaisantes Devas.

· Les babuces

Démons mal définis qui tiendraient à la fois des esprits familiers et des incubes. Jean Cassien, cité par Pierre Le Loyer, dit qu'ils sont tantôt les honorant, tantôt se haussant, tantôt s'humiliant. Et ces Babuces ne seraient-ils pas simplement les démons familiers des maisons, ou ceux qui se laissent inclure dans les chiffres et les anneaux, voire les démons incubes des sorcières.

·
· Les dakinis

Déesses vampires de l'Himalaya, souvent représentées sous les traits de danseuses à tête de lion, elles sont censées déchaîner les tempêtes.

· Les dives

Démons gigantesques et redoutables, souvent confondus avec les djinns des contes orientaux, les dives, munis de griffes énormes, de longues cornes et d'une queue interminable, sont particulièrement méchants, mais les hommes, parfois, en arrivent à bout et les tuent. Certains prétendent qu'ils gouvernent le monde préadamite pendant 7000 ans, de concert avec les djinns.

· Les djinns

Démons corporels, supérieurs aux hommes mais inférieurs aux anges, les djinns (en Arabie), djinnian en Iran, djinniler en Turquie, d'une taille souvent gigantesque quoique imperceptibles à nos sens, cherchent, selon les croyances folkloriques musulmanes, à nous tourmenter sans cesse. Ils se déplacent seulement la nuit, recherchent l'obscurité et hantent de préférence les lieux déserts, cimetières et sites désaffectés. On les perçoit quelquefois grâce aux sifflements qu'ils émettent et, dans ce cas, il est recommandé de s'enfuir rapidement. Certaines légendes sémitiques les considèrent comme les fantômes d'anciens peuples disparus et attribuent à leur chef, Djian, la construction des grandes pyramides d'Egypte et du temple de Baalbek. D'aucun prétendent qu'ils ont la faculté de se muer, à l'occasion, en loup ou en hyène. Les djinns prennent plaisir à répandre les maladies et la folie n'est rien autre que la « possession par les djinns ». Au féminin, on dit djines ou ginnes, termes peu employés. La croyance en l'existence des djinns est, de nos jours, encore vivace dans le monde arabe, même si celle des incubes a pratiquement disparu dans le nôtre.


· Les dracs

Esprits féminins et aquatiques qui, à l'instar de la Vouivre, s'efforcent d'attirer les femmes et les enfants vers leurs repaires en se muant en bijoux ou en coupes d'or. On pourrait, paraît-il, les voir en se frottant les yeux au préalable avec de la graisse de serpent

· Les drolles

Variété de démons familiers qui, en Scandinavie notamment, prennent soin des chevaux , entretiennent le feu du foyer et avertissent des dangers tous ceux qui les accueillent aimablement..
· Les Furies

Divinités infernales dites Dirae chez les romains. Filles de la Nuit et de l'Achéron, chargées de punir les crimes des hommes aussi bien en Enfer que sur Terre. Elles étaient au nombre de 3 : Tisiphone, Alecto, Mégère, représentées avec des yeux flamboyants, des cheveux entrelacés de serpents, tenant chacun une torche d'une main, et un poignard de l'autre. A ces trois soeurs, les Grecs avaient donnés le nom d'Erinyes, mais on les désignait le plus souvent par antiphrase sous celui d'Eunémides (les bienveillantes)

· Les gnomes

Du grec gnômé (intelligence). Nom désignant de petits génies hideux et difformes qui, selon les kabbalistes, habitent les profondeurs de la Terre. [Aladiah: un article a été écrit à leur sujet, cliquez ici! ]


- Un gnome ayant l'apparence d'un sage-

· Les gobelins

Lutins qui, à l'instar des démons familiers, se cachent dans les recoins des maisons mais se font connaître afin qu'on les nourrisse de mets délicats et variés. On dit que la manufacture des Gobelins doit son nom à quelques follets qui, dans l'origine, venaient travailler avec les ouvriers et leur apprendre à faire de beaux tapis.

· Les gorgones

3 soeurs monstres : Méduse, Euryale et Sthéno qui, dans l'Antiquité grecque, habitaient au-delà de l'Océan à la frontière de la Nuit. Images d'épouvante dont la plus redoutable, Méduse, transformait en pierre les hommes qui la regardaient. Persée en triompha et offrit sa tête aux cheveux de serpents à Athéna qui, la plaçant sur son bouclier, en fit l'Egide. Les Grecs modernes voient dans les Gorgones des déesses redoutables.


-
· Les harpies

Créatures monstrueuses au corps de vautour munies d'ailes membraneuses, d'un bec crochu et de griffes acérées, répandant autour d'elles une odeur infecte, qui hantaient les abords des îles Strophates et que Virgile devait placer à l'entrée des Enfers pour y symboliser la mort et le néant.



· Les Incubes

Du latin incubare : coucher sur. Anges déchus par la luxure, les incubes sont devenus , d'après les théologiens et démonologues, des démons fornicateurs particulièrement actifs, pouvant abuser des femmes et à plusieurs reprises, lorsqu'elles rêvent, somnolent ou s'abandonnent à quelques délectations moroses. Formés de corps aériens très subtils, les incubes condensent l'air qui les compose jusqu'à réaliser une matière suffisamment solide pour réaliser les opérations les animales. Incapables de créer la semence, ils vont l'emprunter, sous la forme de succubes, à des hommes jeunes et vigoureux afin de la transmettre ensuite aux femmes. Leur nature complexe et indécise les porte tout naturellement à assumer ce double rôle et à mettre au monde des monstres infernaux dès qu'une occasion se présente. A ce tire, il faut considérer comme enfants d'incubes : Caïn, l'Antéchrist, Platon, Alexandre le Grand, Romulus et Remus, Merlin, Mélusine, Luther et tous les Huns, sans oublier les Géants de la Genèse engendrés par « les fils de Dieu », dont Ulrich Molitor fait des esprits, voire des démons. Pour sa part, encore imbu de la mythologie gréco-romaine, saint Augustin accréditait l'existence des incubes , assimilés à des divinités sylvestres : « une opinion très répandue dont beaucoup ont fait l'expérience où ont confirmation par des gens instruits de ces faits, veut qu'il y ait eu des sylvains et des faunes appelés incubes par le vulgaire, lesquels poursuivent les femmes de leur assiduité, jusqu'à leur possession. » Et il ajoutait ces propos lourds de conséquence : « Les faits de démons incubes ou succubes sont si multipliés qu'on ne saurait les nier sans impudence : l'autorité de tant de personnages graves, les récits de faits indiscutables, tant chez les gens civilisés que chez les barbares, les aveux, enfin, de plusieurs milliers de personnes doivent être pris en considération. ». Opinion que devait confirmer Saint Thomas d'Aquin et reprise par l'ensemble des théologiens, d'où toute une série de récits libertins ou scabreux d'auteurs comme Boèce, Isidore de Séville, le moine Ernaud, Caesarius d'Hesiterbach ou encore l'histoire de Madeleine de la Croix, abbesse diabolique.


· Les Kérès

En Grèce ancienne, petites créatures ailées et malfaisantes qu'on identifie aux maladies, à la vieillesse et à la mort. Sorties de l'urne de Pandore, on les rapprochera des Moires, les Parques latines.

· Les léchies

Démons sylvestres appartenant au panthéon slave, dont l'extérieur rappelle celui des faunes et de satyres du paganisme gréco-romain. Capables de se rapetisser au niveau des herbages ou de dresser à la hauteur des arbres, les léchies se plaisent à égarer les voyageurs et à les diriger vers les cavernes où ils les chatouillent jusqu'à ce que mort s'ensuive.
·




· Les onoscèles

Créatures mythiques proches des goules et des vampires, dont les pieds, à l'instar de ceux des empuses, se terminent par un sabot d'âne. Nées de l'invention fertile de Lucien de Samosate, les onoscèles, à l'en croire, ne redoutent que la racine de mauve qui les fige sur place et les contraint à avouer leurs crimes. Le soir, écrit-il à la première personne dans son Histoire véritable, « nous arrivons à une île peu considérable, toute peuplée de femmes, du moins paraissant telles, et parlant la langue grecque ; elles approchent de nous , nous tendent la main et nous embrassent ; elles étaient parées comme des courtisanes, toutes jeunes et jolies, vêtues de tuniques qui descendaient jusqu'aux talons. L'île s'appelle Calabuse et la ville Hydamardie. Chacune de ses femmes ayant pris soin de nous, le conduisit chez elle et lui donna l'hospitalité. Pour ma part, j'hésitai, ne pressentant rien de bon ; et un regard attentif me fit voir les ossements et les crânes d'un grand nombre d'hommes. J'allais crier, appeler à l'aide mes compagnons et courir aux armes, mais je préférai n'en rien faire. Seulement, je saisis ma racine de mauve, et je la supplie de me dérober aux dangers dont je suis menacé. Un instant après, tandis que mon hôtesse s'occupait de me servir, je vois que ses jambes ne sont pas celles d'une femme, mais qu'elle a le pied d'un âne. Je tire mon épée, je saisis mon hôtesse, je la lie et je lui fais tout avouer. Elle résiste mais elle finit par me dire qu'elles sont des femmes marines nommées onoscèles, et qu'elles dévorent les étrangers qui abordent chez elles. « Nous les enivrons, ajoute-t-elle, nous les faisons coucher avec nous et nous les égorgeons pendant leur sommeil. A ces mots, je laisse là cette femme toute enchaînée, je monte sur le toit, je crie de toutes mes forces pour appeler mes compagnons. Quand ils sont tous arrivés, je leur dis ce qu'il en est, je leur montre les ossements et les conduits auprès de ma prisonnière ; mais elle se change en eau et disparaît ; De mon côté, je plonge mon épée dans cet eau, à tout hasard, , et il en sort du sang »

· Les salamandres

Esprits élémentaires qui, d'après Montfaucon de Villars, « sont composées des plus subtiles parties de la sphère du Feu, conglogées et organisées par l'action du feu universel'ainsi appelé parce qu'il est le principe de tous les mouvements de la nature. Les sylphes, de même, sont composés des plus purs atomes de l'air ; les nymphes des plus déliées parties de l'eau et les gnomes des plus subtiles parties de la terre.» Le même auteur ajoute que les salamandres servent les sages, sans rechercher pour autant leur compagnie, et que la durée de leur existence est particulièrement élevée. « Leurs filles et leurs femmes se font voir rarement ; elles sont pourtant belles, plus belles que les femmes des autres esprits, puisqu'elles sont d'un élément plus pur. » On ne saurait donc les confondre avec les succubes ou les incubes, mais de leurs rapports avec les humains des enfants peuvent naître, tel Romulus, issu des amours d'un salamandre et de la belle Sylvia, qui se prétendit à tort enceinte du dieu Mars. Telle est l'opinion des cabalistes qui, par ailleurs, assurent que pour soumettre les Salamandres (et les autres esprits), il suffit, grâce à l'emploi de miroirs concaves, d'attirer les rayons du soleil dans un globe de verre. Il se forme alors « une poudre solaire qui se purifie d'elle-même et qui, avalée, est souverainement propre à exalter le feu qui est en nous. » et, par voie de conséquence, à commander aux génies ignés.

· Les satyres

Demi-dieux souvent munis de pieds de boucs qui, dans l'Antiquité gréco-romaine, étaient censés poursuivre de leurs assiduités les nymphes, les bergères et les filles égarées au voisinage des forêts, leur habitacle ordinaire. Pan, disait-on, était le chef des satyres, mais on rencontrait déjà leur trace dans l'Ancien Testament, sous le nom de « seirim », les démons velus. Les textes hébraïques du Lévitique et du Deutéronome font formellement interdiction aux enfants d'Israël d'offrir des sacrifices aux boucs et de se prostituer à eux. A leur tour, les théologiens du Moyen-Age assimilèrent les satyres à des démons alors que Saint Jérôme s'était contenté de les considérer comme des monstres nés des rapports bestiaux entre les hommes et les chèvres. De son côté, Saint Antoine, dont l'hagiographie et l'iconographie chrétienne firent un personnage de tout premier plan, n'avait pas rencontré de satyres, mais un hippocentaure, en allant rendre visite à St Paul. On n'en voulut rien démordre et on alla jusqu'à assimiler ce compagnon de rencontre à un incube.


- Dionysos entouré de 4 satyres -

Au XVIIe, encore, F.Hédelin dans son traité Des satyres brutes, monstres et démons, considère que les satyres, démunis d'une âme spirituelle et immortelle, ne sont ni des êtres raisonnables assimilables aux hommes, ni des singes, ni des hybrides, mais bel et bien des démons, qui jadis assistaient, sous le nom de bacchanales, au sabbat du mont Parnasse : « Ils paraissaient en groupe, certains d'entre eux portant des cymbales, et d'autres, des tambours, leur voix était humaine et distinctement articulée, et on ne savait de quel endroit de la montagne ils pouvaient venir ; car jamais on ne reconnut qu'il y eut de tels habitants sur cette montagne. Mais était-ce autre chose que des démons qui venaient assister aux cérémonies et hommages qui lui étaient rendus par les magiciens sous ombre de religion, prenant cette forme de satyres, comme l'on dit qu'ils font encore aujourd'hui aux assemblées nocturnes des sorciers, que l'on nomme sabbats, se rendant complaisants à leurs danses et à leur turpitudes ? Qui ne sait que les sabbats ne sont rien qu'un amas de meurtriers, empoisonneurs et gens éhontés, qui s'abandonnent aux abominations des succubes et incubes ? Et qui n'a lu Tite-Live que la confrérie de Bacchus était l'officier de toute corruptèle, et la boutique d'où sortaient les meurtres, les empoisonnements, les faussetés, et violemment dénaturés de tout sexe et de tout âge ?»

· Les sindongmas

Très jolies créatures tenant des succubes et des goules qui, au Tibet, s'abandonnent lascivement aux voyageurs égarés, les torturent et finissent par les dévorer.

· Les Sotrès

Lutins que l'on trouve tout particulièrement dans les Vosges où ils apparaissent hauts comme des nourrissons mais doués d'une force prodigieuse. Malicieux jusqu'à la méchanceté, effrontés et vindicatifs, les Sotrès sont capables d'aller jusqu'au rapt d'enfant dans les familles qui les méprisent ou leur résistent. En général, ils aiment à faire le ménage à aider les travailleurs de la terre et à soigner le bétail, mais ils peuvent voler les oeufs, la monnaie qui traîne ou dérober des outils.

· Les Succubes

Du latin subcubare : coucher sous. Démons lascifs revêtant une forme et un comportement féminins afin de soutirer leur semence à des hommes de préférences vigoureux, pour la transmettre ensuite, sous formes d'incubes, à des femmes qu'ils espèrent engrosser. Ce qui ne les empêche pas de venir induire au pêché de luxure des moines, anachorètes et adolescents tourmentés par la puberté. Les succubes peuvent également animer momentanément quelque personne décédée dont les partenaires, après une folle nuit d'amour, retrouvent le cadavre au petit matin. Le R.P Delrio affirme cette possibilité et Florimond de Raemond écrit que les démon s'emparent du corps des trépassés et « ministres de la mort logent parmi les morts. ».
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MessageSujet: Re: les démons   les démons Icon_minitimeVen 2 Juin - 12:31

j'ai du enlevé des definition car cétait trop long donc si vous voulez lire toute les definitions allé sur http://lesorcierdetjr.skyblog.com
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